Focus sur Mathis Renaut, étudiant-entrepreneur et ambassadeur Pépite !
En arrivant en première année de BUT à l’IUT de Nice, Mathis savait déjà qu’il voulait entreprendre, plus qu’une envie : une trajectoire naturelle. Certainement l’influence de son beau père, lui-même gérant de deux magasins, il voit dans l’entrepreneuriat une forme de liberté — celle des horaires, des projets, de la géographie. Il se lance, pousse la porte de Pépite et donne forme à un premier projet : une plateforme de rencontres sportives. « Je me cherchais encore », confie-t-il. Ce projet n’aboutira pas, mais il marque un point de départ.
C’est une opportunité saisie presque au vol qui va changer la donne : une tournée des bars, un pub crawl. Un concept qui existe déjà, mais que Mathis décide de revisiter avec son pote Floris, pour faire mieux, autrement.
J’ai su que ce projet nous prendrait moins de temps et donnerait des résultats plus rapidement. J’en étais sûr.
Il se lance, capitalise sur ses compétences acquises à l’IUT, notamment en création de site internet et en gestion des réseaux sociaux, qui lui permettent d’apporter une vraie valeur ajoutée. L’accompagnement offert par Pépite fait le reste.
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Pour lui, entreprendre ne se résume pas à créer un projet ou générer du chiffre. C’est aussi s’entourer, apprendre, partager. C’est ce qu’il trouve au sein de Pépite, le dispositif d’accompagnement à l’entrepreneuriat étudiant.
Ce que j’en retiens le plus, c’est un cercle d’amis. Oui, le mot est fort, mais juste. Des amis entrepreneurs, des accompagnateurs, des référents… des gens qui ont déjà réussi
Un réseau, une émulation collective qui lui permettent de grandir en confiance.
Aujourd’hui, Mathis anime l’Espace Pépite de l’IUT, l’antenne entrepreneuriat. Un rôle qu’il a choisi avec intention : transmettre. "Je veux que d'autres étudiants soient comme moi, qu’ils entreprennent." Parce qu’il sait à quel point cela peut transformer une trajectoire. Parce qu’il sait aussi qu’il aurait aimé en entendre parler plus tôt. Il souligne le besoin de mieux faire connaître le dispositif, d’aller vers les étudiants, de leur parler, dès la première année.